L’alimentation crue est sans aucun doute une des alimentations les plus digestes et les plus énergisantes qui soit, pour de nombreuses raisons largement évoquées dans ce blog! Toutefois, elle ne convient pas à tous, car chaque individu est différent et a un métabolisme, des besoins et des circonstances qui lui sont spécifiques.
D’autre part, vous savez que je n’ai jamais prôné, et rarement pratiqué, le cru à 100%. Je suis d’avis que le cru a beaucoup à offrir, surtout pour nettoyer le corps en profondeur sur des courtes périodes, mais aussi pour maintenir un certain niveau d’énergie et de vitalité, lorsque pratiqué à un rythme de croisière. Ce rythme est propre à chacun, et il tient à vous de le trouver. Mais pratiqué à 100% sur une longue durée, il ne convient qu’à une rare minorité.
Mais il y a cru et cru !
Je constate que beaucoup d’enthousiastes de ce mode de vie l’ont adopté de manière trop stricte, trop sévère ou encore trop rapide, ce qui a pu avoir des effets moins positifs qu’escomptés. Plusieurs en sont donc revenus, et passent ainsi d’un extrême à l’autre, ce qui est une situation à éviter également car le corps et le métabolisme n’apprécient pas les changements brusques.
Pour moi, tout dépend de comment on pratique le cru. La manière qui m’a le mieux convenu est une alimentation riche en verdures, avec un apport régulier, voire quotidien, de jus et smoothies verts, de salades variées et jeunes pousses, de graines germées et légumes, de bons gras, et de fruits en moindre quantité, si on supporte bien le sucre. Une part de cru élevée laisse tout même une place, certes moins importante, pour le non cru – c’est-à-dire pour le « bon cuit ».
Pour ma part, il s’agit de protéines animales de qualité, pas tous les jours et en petites quantités, de céréales et graines cuites, de préférence sans gluten, mais aussi de légumes et parfois fruits cuits vapeur ou autrement. Ce choix me permet de trouver un équilibre physique, mental, émotionnel mais aussi social.
Le cru n’est pas seulement le non cuit
L’alimentation crue est beaucoup plus spécifique que l’idée d’inclure tout ce qui n’est pas cuit. Il s’agit de manger des produits sains, bio, de culture locale et de saison, et non raffinés, dans un équilibre qui convient à nos besoins spécifiques. Ainsi manger beaucoup trop de fruits, ou de grandes quantités d’oléagineux, et manquer de verdure ou de bons gras, ou encore imposer de grandes quantités de crudités à un colon irritable, tous ces cas de figure peuvent donner des résultats insatisfaisants, voire médiocres, qui font que l’on abandonne, on décrie et/ou on juge. Je ne répèterai jamais assez : il faut y aller doucement, écouter son corps, surveiller ses réactions et adapter si besoin. Inutile de dogmatiser ou stigmatiser !
Le cuit n’est pas un poison
Certes dans le cru on aime mettre en avant tous les bienfaits de cette alimentation, comme la préservation des nutriments qui peuvent être endommagés voire détruits par la chaleur, tels que ces précieux enzymes, ou encore le gain d’énergie métabolique par une digestion plus efficace. Mais contrairement à ce que certains affirment, cela ne signifie pas que tout ce qui est cuit est mauvais ! D’ailleurs certains aliments, tels que les tomates par exemple, offrent des bienfaits différents une fois cuits.
Rajoutons que pour certains, l’apport de céréales et/ou de protéines animales cuites est souhaitable pour augmenter l’apport calorique ou la variété nutritionnelle, ainsi que l’absorption ou l’assimilation, ou encore pour ralentir la détox, gérer la guérison ou l’intégration sociale. On peut choisir de maintenir une part de cuit pour de nombreuses raisons, et ce sans se culpabiliser de faire de mauvais choix.
J’observe avec plaisir que l’engouement pour une alimentation plus pure et plus saine prend un essor indéniable, mais je constate que trop souvent cet engouement s’accompagne de fanatisme, de jugements de part et d’autre et de focalisation trop rigide sur l’alimentation. N’oublions jamais que l’alimentation doit avant tout rester un plaisir et une manière de nourrir nos cellules comme notre coeur et notre esprit. Et que d’autres aspects de la santé sont tout aussi importants, comme la pratique régulière d’une activité physique ou encore la gestion du stress et de nos pensées et émotions.
Le bon cuit
Dans le cru, il y a le bon cru. Dans le cuit c’est pareil ! Le bon cuit c’est éviter trop de produits raffinés, à durée de conservation longue, les produits pasteurisés, upérisés, transformés, frits, en conserve, préparés et emballés, qui ont perdu de nombreux bienfaits et contiennent des substances indésirables, ou encore les très mauvaises graisses dites « trans » et les produits trop sucrés. Attention donc aux produits préparés (y compris les sauces à salade !).
Pour ma part, je fuis également les produits « light » ou sans sucre, sans caféine, sans gluten, qui finalement sont tous issus de procédés industriels qui ne servent qu’à l’agroalimentaire et la grande pharma, et aux personnes qui cherchent les solutions faciles et ne prennent pas le temps de cuisiner… Le sans sucre signifie, avec édulcorant ; le sans caféine, que signifie-t-il vraiment ? Et le sans gluten, même question : pourquoi séparer certains éléments constitutifs d’un aliment plutôt que le remplacer par un autre?
Les modes de cuisson
Ce qui est certain, c’est qu’il vaut mieux aussi surveiller le mode de cuisson. Ainsi la cuisson à la vapeur douce est la meilleure, suivie par la cuisson à l’étouffée, à l’eau, au four ; il est recommandé d’éviter les cuissons dans toute forme de matière grasse autre que l’huile d’olive ou l’huile de noix de coco, qui sont les seules à ne pas se modifier à la chaleur, et de proscrire les cuissons au barbecue ou à l’huile bouillante (friture). Les températures les plus élevées et les plus longues sont, logiquement, les plus néfastes. Ainsi la cuisson à la vapeur douce pendant 10-15 minutes est préférable.
Se faire confiance
Dans la multitude de conseils donnés aujourd’hui sur internet, je limiterai mon rôle à partager ma propre expérience et à vous encourager à essayer, afin de voir ce que le cru peut vous apporter. Avancez doucement, sans jamais vous forcer, en restant souple et en trouvant la variante qui vous convient le mieux, pour le moment. Faites vous plaisir, mais aussi confiance, vous pourrez changer de cap si les choix ne conviennent pas ou plus. Il faut éviter de trop s’inquiéter, car c’est une source de stress inutile. Faites du mieux possible, avec les connaissances que vous avez aujourd’hui, et lâchez prise sur le reste !
La famille
Pour ce qui est de votre famille, c’est une autre histoire. Les compagnons/conjoints font leurs propres choix et ne doivent pas forcément suivre les nôtres. Encore une fois, c’est une question très individuelle ! Mais pourquoi pas le leur proposer, et partager nos nouvelles découvertes car il se peut que cela leur apporte une meilleure qualité de vie. Mais il est inutile d’imposer, de chercher à convaincre. L’éveil des esprits se fait de l’intérieur.
Pour les enfants, il faut prendre garde, car leurs besoins sont très différents : en pleine croissance, ils requièrent plus de calories que nous, et dans le meilleur des cas, leur digestion n’est pas encore endommagée et leur métabolisme est encore performant et résistant ! Pour d’autres, les intolérances alimentaires et divers symptômes pourront être la raison de changer d’alimentation. Mais dans la plupart des cas, ma principale recommandation est d’augmenter la part de cru, bio, saisonnier, et de réduire un maximum les aliments industriels, raffinés, « fast food », sucreries néfastes et autres apports toxiques sur le long terme. Réduire mais pas interdire ! Avec les jeunes, c’est déjà tout un programme !
Avec une telle approche, on ne craint pas les carences et on peut faire les choix adaptés à notre période de vie. Soyons attentifs et prenons soin de nous et des autres, c’est le mieux que l’on puisse faire !
Enfin, vivons dans le respect de l’autre et de ses différences. Avoir les connaissances pour identifier puis adopter le régime alimentaire qui nous permettra de profiter au maximum de la vie, et de profiter de tout notre potentiel, là est le véritable but. Finalement, l’étiquette que porte cette alimentation n’a pas tellement d’importance.
Et vous qui aimez le cru, quelle part réservez-vous au cuit? Merci d’avance de vos partages! Cette communauté, et le monde, se construisent dans le partage!
RAJOUTEZ DU CRU DANS VOTRE VIE, UN PLAT À LA FOIS!
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Que du bon sens, sujet bien métriser! C’est bienfaiteur de lire des écrits de cette qualité… merci.
Merci Bosha!
Merci Amy pour ce message qui appelle à l’écoute de soi. Expérimenter et observer ce qui nous convient singulièrement sans tomber dans le fanatisme et le jugement de ce que font, ne font pas, ou devraient faire les autres me semble être la voie de l’équilibre, la voie du cœur pour chacun… bien au delà de l’alimentation !!!
Cordialement depuis une île grecque
Merci Anne et profite bien de la Grèce! Nous profitons pour notre part des feux d’artifice au balcon du ciel!
Merci pour cet article que j’ai apprécié pour sa justesse. Chaque individu est unique et doit adapter son alimentation. Pour ma part, j’ai découvert le cru aux côtés de mon compagnon, qui en a fait les frais pour avoir voulu adopter un mode cru à 80%. Je pense qu’il ne faut pas être trop excessif. Chacun doit trouver un équilibre qui lui convient et acheter des produits sains à cuisiner.
Merci Cathala pour ce partage. Moi je me sens au mieux à 80% mais j’adapte aux circonstances, et ne m’interdis rien. Mais on n’apprend à n’apprécier que les aliments sains, dès que l’on prend plus conscience!
Amy, Merci beaucoup pour vos article qui apportent toujours une utile réflexion.
Je rajouterais à celui-ci un élément: c’est de manger avec conscience et de bien mâcher.
Quand on ingère des aliments en ayant une pensée pour leur action sur notre métabolisme, l’acte de manger prend une toute autre signification. On fait de son corps et de la nourriture des alliés et des partenaires. Que l’on mange cru ou cuit d’ailleurs.
Cela rejoint le plaisir de la table dont vous parlez si bien.
Bon 1er août à chacun
Sylviane
Ah oui, joli commentaire! Vivre dans la pleine conscience est primordial pour quiconque veut apprécier la vie encore plus. Je vais bientôt lire le livre « Savourez, Mangez et Vivez en pleine conscience » de Thich Nhat Hanh, moine bouddhiste qui enseigne cette pleine conscience. Ce livre J’en parlerai certainement ici! Je suis bien de votre avis! Merci, Amy
Un très bel article Amy. Je t’en remercie et partage tout à fait ton opinion. Chacun doit trouver son équilibre et son bonheur devant la variété d’aliments non transformés qui s’offrent à nous. Il y a tellement de manières différentes et délicieuses de les accommoder! C’est un tour de main à prendre et quand on aime cuisiner, cela vient facilement. Je mêle souvent le cru et le cuit, par exemple dans les salades et veille à ne pas trop assaisonner.
Nous ne sommes réalisons parfois plus à quel point il est facile d’accéder à une nourriture fraîche, saine et variée sous nos latitudes. Profitons-en! D’autres doivent se contenter de bien moins.
Tellement vrai, Hélène, merci !
Bravo pour cet article. En effet, une modération dans tout ce que l’on fait est préférable plutôt que l’excès qui peut nous compliquer la vie : Manger principalement du cru associé à un peu de cuit permet de vivre mieux socialement.
Vos articles sont très intéressants et j’envisage de venir faire un stage chez vous dans l’année qui vient. Dans un premier temps, je suivrai les cours en ligne. Je vous contacte en septembre et
merci pour tous vos bons conseils !
Bien cordialement,
Anne Spyropoulos
Aix-en-Provence France
Avec plaisir Anne et au plaisir d’une prochaine rencontre!
Bonjour,
Question alimentation il est certain que d’augmenter la part de cru sera bénéfique et je vous suis à 100% toutefois j’ai noté à la volée quelques petites erreurs dans votre texte .
L’huile d’olive se dégrade à haute température en effet étant mono-insaturée elle donc est quelques peu instable , moins que le lin et plus que le tournesol par exemple toutefois comme toutes les huiles il faut en limiter au maximum la consommation car c’est un concentré de gras .
Le bon gras est celui naturellement présent dans les végétaux en respectant le ratio oméga 3/6 .
La cuisson des tomates permet de mieux absorber les lycopènes mais c’est l’exception qui confirme la règle .
Les céréales qui contiennent naturellement du gluten sont à éviter surtout les blé modernes qui en contiennent beaucoup et les remplacer par des » pseudos » céréales comme le quinoa , le fonio , l’amarante voir le riz complet …
Le syndrome du colon irritable peut être guéri par une alimentation hypotoxique .
Les protéines végétales riches en chlorophylle sont beaucoup plus aisées à transformer en acides aminée et nettement moins acidifiantes pour l’organisme que celles d’origine animale qui sont complexes , niches en méthionine pour la viande ( cancer ) en caséine pour le lait ( cancer ) et ( intolérance au lactose ) .
De plus qui dit protéine animale dit souffrance animale absolument pas nécessaire à notre bonne santé .
Cordialement
Thierry Aix en Provence
L
Merci Thierry pour ces informations supplémentaires. Je suis bien d’accord avec vous!
bonjour Thierry …je suis dans le changement alimentaire depuis 1 an et j evite le lactose et le gluten depuis 3 ans ..néamoins j ai beaucoup de trou dans mes apprentissages …j habite pres de Aix et j aurai souhaité échangé avec vous .
Merci de votre suivi
Bonne journée
Muriel
Merci de ce bel article empli de sagesse…
Pour ma part je dois être à 70% cru… et je reste flexible et à l’écoute de mon corps et de mes envies…
Après tant de detox, les mauvaises addictions se sont évaporées… et l’une ou l’autre surgit de temps à autre, et parfois je les honore et les apprécie ponctuellement…
un peu de roquefort et un bon verre de vin… Quelle fête!
Je trouve important de respecter les envies, qui à ce stade (6 ans d’alimentation vivante et de nombreuses cures de detoxination), sont plutôt ressenties comme des besoins ponctuels et célébrées comme un moment spécial et festif.
Ce que j’adore dans le cru, c’est une toute nouvelle créativité, une invention spontanée de goûts et saveurs complètement associée à la richesse de la nutrition… aux bienfaits… quelle liberté!!! Quel Gusto!!!
Oui en effet, je suis de vôtre avis, le cru est d’un créativité inouïe et le plaisir est bien présent!
Un grand merci chère Amy pour cet article plein de sens. Merci de me rappeler d’écouter mon corps plutôt que tous les dogmes et les étiquettes rattachés à la nourriture. Pour ma part, mon organisme adore le cru. C’est naturel pour moi de me nourrir de cette manière bien que j’inclus du cuit dans mon alimentation pour la simple raison que j’aime bien manger par exemple, un bol de riz, du quinoa ou toute autre céréale qui se mange …cuit. Les intolérances alimentaires (produits laitiers et gluten) m’ont menées vers l’alimentation vivante, une solution qui me convient. je fuis tout ce qui est aliment préparé pour les raisons que tu as énoncées et lorsqu’on ne comprend pas les mots qui composent la liste des ingrédients de ces produits, cela veut dire qu’il vaut mieux les éviter.
Merci pour ton partage Louise!
Amitiés
Louise
Bravo pour cet article bien écrit et plein de bon sens. Adepte des produits bio depuis 20 ans, j’ai récemment adopté une alimentions intégrant beaucoup plus de cru suite à diverses information lues à ce sujet. Toutefois, tout comme vous je ne suis pas sûre que 100% de cru soit la solution. Je me suis stabilisée à une alimentation à 60-70% cru? en pratiquent le « rawtill4 », c’est à dire qu’après 16h , j’intègre des aliments cuits dans mon alimentation, ce qui me permet de partager mon dîner normalement avec mes enfants qui mangent du cru et du cuit. Je fais cuire à la vapeur ou à l’huile d’olive. J’utilise aussi beaucoup d’épices .
Merci Nathalie, je pense que je pratique le « rawtill4 » un peu instinctivement!
Bonjour Amy,
Article intéressant, merci 🙂
Pour ma part, je considère le cru comme la base de notre nutrition et notre alimentation se devrait d’être formée d’au moins 80% de cru… que ce soient des jus, des smoothies verts, des salades ou tout autre délicieux plats concoctés. Le 20% restant, pourrait être du légèrement cuit, cuisson vapeur ou, à l’occasion, des soupes quand les hivers sont froids et humides. Côté viandes, je suis personnellement contre… en partie pour la raison avancée par Thierry, et aussi pcq les viandes peuvent apporter des toxines et des lenteurs digestives qui pourraient contrecarrer un si bel effort-santé. Puis… les grains et céréales… encore là, je joint Thierry sur son point de vue. Les grains et céréales modernes avec leurs modifications en gluten apportent beaucoup de problèmes de santé… et bien souvent, les personnes ne savent même pas que les problèmes qu’ils ont sont dûs à ce simple fait — et bien sûr problèmes aussi avec les produits laitiers.
Nous sommes si complexes, une magnifique machine dont nous avons délaissé l’entretien pour un bon bout de temps… mais, quand on s’y met… que de bénéfices. Mais, il faut savoir et comprendre ce que l’on fait pour en tirer le maximum de bénéfices. Discipline? Au tout début peut-être… le temps de prendre la routine de ce nouveau mode de vie… ensuite, c’est tout simple et plaisant… et délicieux. 🙂
Merci de vos articles si intéressants, Amy… j’ai bien hâte de lire le suivant.
Quel beau partage, Amyah! Je suis bien entendu entièrement de votre avis! Merci!
Bonjour Amy,
Merci pour cet article plein de bon sens. Et déculpabilisant, car il y a en effet beaucoup de fanatisme sur ce sujet, comme sur tous les autres d’ailleurs…
J’aime beaucoup cette approche car elle vise à se responsabiliser en apprenant à écouter son corps. En tant que sophrologue, cela me parle complètement. Pour être bien, rien de tel que d’apprendre à vivre tous les moments du quotidien en conscience, à devenir son propre observateur. Une fois cette capacité acquise, plus besoin de se poser mille questions sur le pourcentage de ceci ou cela, c’est notre corps, cet allié indéfectible, qui nous guide, toujours avec justesse et intelligence…
Merci!
Bonjour Amy,
Merci pour ces conseils, je suis « tout neuf » dans le monde végétalien , moi qui étais viandard, fromagivore, plus le pain et les pâtes…
Donc je suis allé trop vite dans la transition : et les problèmes sont arrivés, pas de santé mais je ne pouvais plus rien avaler de cru au bout d’un mois sans avoir un phénomène de rejet, comme quand on veut s’obliger a manger et qu’on vomi, ça m’ait d’ailleurs arrivé plusieurs fois…
J’ai donc laisser tomber, mais en m’informant un peu partout, l’idée du cru est revenue, plus raisonnée , avec juste quelques « entorses » au régime par semaine, et le temps fera le reste, les bienfaits du végétalisme sont tellements forts et encourageants qu’on ne peut plus l’oublier quand on y a goûté!
Adieu viande, produits laitiers, céréales et aliments transformés !!!!
Mais bon, un bon plat de pâtes a la bolognaise sans viande de temps en temps, ça me fait trop du bien a la tête …. Même si les spaghettis de courgette a la bolo crue me régalent aussi.
Encore Merci de partager votre savoir et vos recettes!
Merci à vous David pour votre partage!
Super article Amy. Tout à fait d’accord avec toi. Je partage.
Merci Etienne, ravie que cet article t’ait plu!
Merci Amy pour cet article magnifique.
Vous êtes très écoutée sur le sujet du cru , donc venant de votre part c’est juste magnifique pour éviter certains dérapages.
J’ai tout de suite remarqué cette tolérance chez vous et c’est en grande partie pour cela que j’ai suivi et acheter certains de vos cours.
Après des années d’expériences différentes dans le domaine alimentaire je FUIS les extrémistes !!
Merci pour votre bon sens.
Amitiés
Françoise
Oh merci Françoise, cela me touche beaucoup! Le bon sens, c’est tellement logique 🙂 Belle continuation à vous! Amy